La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une fiction qui bat des records de longévité. Depuis sa première diffusion en 1997, Mimie Mathy est le visage phare de la série Joséphine, ange gardien, la comédie phare de TF1. Après 24 ans d’antenne, une vingtaine de saisons et une pléiade des stars à l’écran, le succès semble toujours au rendez-vous pour la comédienne.
Auprès de nos confrères de Télé Star, Mimie Mathy s’est confiée sur le travail autour de Joséphine Delamarre, l’héroïne qui l’a rendue populaire auprès du public. "J'ai une chance énorme, je continue à m'amuser sur cette série, même au bout de 24 ans. Je pense que c'est aussi ce qui plaît. On n'est pas tombé dans une routine, on a une équipe de producteurs qui gère vraiment des univers différents à chaque fois. Même sur des sujets graves, Joséphine a cette fantaisie, elle peut se permettre de détourner la gravité", a-t-elle expliqué en ajoutant. "C'est ça qui continue de m'amuser, d'essayer de trouver des choses qui permettent aux téléspectateurs de voir que l'on est bien dans Joséphine, et que ce n'est pas une assistante sociale qui vient sauver une maison en péril".
Quel avenir pour la série de Mimie Mathy ?
Pourtant, viendra le jour où l’ange gardien préféré des Français va prendre sa retraite. Pas de quoi inquiéter la sexagénaire qui voit d’un bon œil l’avenir de la série phare de TF1. "Je pense que tant que je ne suis pas ridicule en tant qu'ange gardien, que je ne marche pas avec une canne, je suis prête à continuer !", en précisant. "Peut-être à un rythme moins soutenu, c'est d'ailleurs déjà le cas puisqu'il n'y en aura que deux l'an prochain, mais je suis prête à continuer tant qu'on s'amuse et qu'on a de beaux sujets à développer. Et ça ne m'empêche pas de faire des choses ailleurs !".
Un rôle très lucratif pour Mimie Mathy qui n’avait pas hésité à révéler son salaire, confirmant toucher 250 000 euros par épisode auprès de TV Mag. Si ces révélations, datant de 2013, ont fait grincer des dents la chaîne, la comédienne a depuis revu sa rémunération à la baisse pour sauver la série. "J'ai baissé mon cachet pour que l'on puisse continuer. Plutôt que d'arrêter et de mettre toute une équipe au chômage (...) j'ai largement baissé mon cachet, il a été divisé par deux", assurait-elle au micro de RTL en juin 2019.