La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Lors de son allocution télévisée du mardi 24 novembre 2020, Emmanuel Macron devrait, entre autres, aborder le sort des fêtes de fin d'année. Les Français devront-ils fêter Noël confinés ? Sous couvre-feu ? Ou les festivités seront-elles tout simplement reportées à l'été 2021 comme le suggérait Karine Lacombe, infectiologue ? C'est une question épineuse pour le gouvernement. Faut-il autoriser les familles à se réunir au risque de déclencher une troisième vague de l'épidémie de Covid-19 ?
D'après 20 minutes, Anne Genetet, porte-parole du groupe LREM à l'Assemblée, insiste sur la nécessité de maintenir Noël, tout en faisant appel à la responsabilité collective. "Noël ne se fera pas en visioconférence, mais il ne sera pas comme d'habitude", déclare-t-elle. "Il y aura probablement des recommandations pour limiter le nombre de personnes", poursuit la députée. "Les gens ont bien compris que ça ne serait pas les grandes cousinades, mais un Noël dans le cercle familial restreint" estime Pacôme Rupin, député LREM à Paris.
Un allègement du confinement en trois étapes
Dimanche 22 novembre 2020, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a annoncé que des assouplissements du confinement devraient intervenir "en trois étapes". Celles-ci seront déterminées selon l'évolution de la situation sanitaire et devraient intervenir "d'abord autour du 1er décembre, puis avant les congés de fin d'année, puis à partir de janvier 2021". Toutefois, le gouvernement est formel : l'attestation de sortie restera obligatoire après le 1er décembre, ce qui implique que les déplacements seront toujours limités.