La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Depuis le 18 novembre dernier, TF1 diffuse Le Bazar de la Charité, une fiction inspirée du tragique incendie qui a fait plus de 120 morts lors d'un événement caritatif en 1897 à Paris. Pour réaliser les huit épisodes de la série, le tournage a nécessité cinq mois. Certaines prises ont particulièrement été éprouvantes pour les actrices principales de la série notamment pour Julie de Bona et Camille Lou qui ont participé à la scène de l'incendie. "Tout était sécurisé, ignifugé, storyboardé. On s'attend à rien et c'est absolument terrifiant. Quand l’action démarre, tu te retrouves au milieu des flammes", explique Julie de Bona à Télé-Loisirs. "C'était bouleversant. J’ai vraiment pleuré. Parfois, je n’arrivais plus à m’arrêter. Ça peut faire cliché. Mais cela a eu lieu, et cela me bouleversait de savoir que des gens avaient vécu ça", confie Camille Lou.
La frustration d'Audrey Fleurot et le calvaire de Julie de Bona
Dans une interview accordée à AlloCiné, Audrey Fleurot a fait part de sa frustration de ne pas avoir participé à la scène de l'incendie. "C'est vrai que c'était un peu frustrant de pas tourner l'incendie. Bon ça a duré dix jours et j'ai cru comprendre que ça n'avait pas été de la tarte à tourner pour mes camarades. Mais comme l'incendie est finalement le rôle principal du premier épisode, c'est un peu frustrant de ne pas y avoir participé. J'aurais bien aimé en faire partie", regrette-t-elle. L'actrice confie également être un peu frustée de ne pas avoir de scènes communes avec Julie de Bona et Camille Lou.
Après la scène de l'incendie, Julie de Bona ne s'attendait pas à affronter une autre difficulté lors de ce tournage : les séances de maquillage. La raison ? L'actrice devait porter des prothèses pour incarner son personnage, Rose, la domestique au visage à moitié brûlé. "Initialement, la pose du faux crâne et des prothèses prenaient cinq heures. Trois heures à poser, un peu moins à enlever. J’écoutais de la musique pour passer le temps et rester concentrée. Cela aidait à se sentir aussi éprouvée que le personnage", raconte la comédienne à TV Mag. Cependant, ce rituel a fini par lui laisser des traces : "Au bout de plusieurs semaines, le processus m'a irrité la peau et me brûlait".