La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Samedi matin, Carla Bruni-Sarkozy était l’invitée de Catherine Ceylac, présentatrice de l’émission "Thé ou café", sur France 2. L’occasion pour l’ex-Première dame de revenir sur "les malheurs de sa vie", dont la mort de son frère, Virginio Bruni-Tedeschi, décédé du Sida en 2006.
Un drame auquel la jeune femme a dû faire face, à 36 ans, alors qu’elle défilait encore sur les podiums : "Je travaillais dans le monde de la mode. Cette maladie a été une absolue hécatombe. J'ai trouvé beaucoup d'amis avec lesquels partager cette difficulté", explique-t-elle.
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"Depuis sa mort, tous les jours je pense à lui"
Sur Instagram, la quinquagénaire rend souvent hommage à son frère.
Elle a d’ailleurs confié dans une interview accordée à Paris Match : "Sa mort a symbolisé la fin de l’enfance, à tout jamais. Même si, à 38 ans, il était temps de se séparer de cette enfance. Il était une part importante de mes jeunes années. Depuis sa mort, je pense tous les jours à lui". Une chanson en hommage à celui qui a partagé sa vie depuis toujours est présente sur l’album "Comme si de rien n’était", paru en 2008. Le morceau s'intitule "Salut marin", surnom qu'elle donnait à son frère.