De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
En plein milieu des vacances d'été, les virées à la mer sont de rigueur. Qu'il s'agisse d'une escapade d'une journée ou d'un séjour de plusieurs semaines, vous apprécierez sûrement vous baigner avec de si fortes chaleurs. Si la crise épidémique en cours nous oblige à respecter les gestes barrières, les mesures de sécurité plus classiques ne doivent pas être mises de côté. La Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) rappelle les numéros d'urgence à connaître en cas de noyade ou autre danger en mer.
Quel numéro taper sur son téléphone ?
Le 196, à taper sur votre téléphone, vous permet de joindre les Centres régionaux opérationnels de surveillance et de sauvetage (CROSS). Ces centres alertent les sauveteurs qui devraient intervenir en moins de vingt minutes. L'association compte 4 000 sauveteurs bénévoles et 1 400 nageurs sauveteurs. Ils prennent en charge plus de 50% des interventions de sauvetage sur les littoraux français et assurent la sécurité sur un tiers des plages surveillées.
La SNSM souligne que le sauvetage de toute personne en situation de danger est gratuit et obligatoire. Seule l'assistance aux biens engage une participation aux frais. Si vous êtes à bord d'un bateau et que vous disposez d'une bande à très hautes fréquences (very high frequency/VHF), vous pouvez utilisez le canal 16 pour appeler à l'aide.
En 2018, l'association a permis de retrouver plus d'un millier d'enfants perdus sur les plages. Pour éviter le pire, Les Sauveteurs en Mer conseillent aux vacanciers d'équiper leurs enfants de bracelets d'identification. La SNSM en distribue gratuitement dans les différents postes de secours présents sur les plages.