La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Il va falloir s’y habituer. Le port du masque dans les transports en commun, obligatoire depuis le 11 mai dernier, est amené à durer. En effet, selon la ministre chargée des Transports, la mesure doit se prolonger jusqu’à ce qu’un traitement pour le Covid-19 soit trouvé. "Je n'ai pas de doute qu'il faudra maintenir le port du masque obligatoire dans les transports en commun (...) tant qu'on n'a pas un traitement ou un vaccin", a déclaré Elisabeth Borne, ce mercredi 27 mai sur BFMTV.
Transports : des règles strictes
"On a des règles qui sont très strictes, il y a beaucoup de distribution de gel hydroalcoolique dans les transports en commun", a-t-elle ajouté. "Il y a des marquages au sol pour que les gens se tiennent à distance et puis il y a des masques (...)", a-t-elle indiqué, précisant que cette question allait "être abordée en conseil de Défense demain".
Jusqu’à quand la mesure pourrait-elle alors s’appliquer ?
Si l'OMS (Organisation mondiale de la santé) recense à ce jour plus de 100 projets de vaccins (dont 10 en essais cliniques), espérer un vaccin dans un délai proche est illusoire. "Sur un vaccin qui a fait ses preuves, ce ne sera certainement pas cette année, mais à partir peut-être de l'été ou de l'automne 2021", a assuré le Pr Cole, directeur de l'Institut Pasteur. "Il y a beaucoup d'inconnues et d'aléas", a-t-il concédé.
Pour rappel, depuis le 11 mai dernier, date du déconfinement, le port du masque est obligatoire dans les transports en commun pour l’ensemble des passagers, dès 11 ans. Les contrevenants sont passibles d'une amende de 135 euros.