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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© AFPL'examen des boîtes noires du train ayant déraillé à Saint-Jacques de Compostelle livrent leurs premières informations. Selon les enregistrements, le conducteur du train était au téléphone lorsque le train a déraillé.
"Le conducteur, au moment de l'accident, parlait au téléphone avec un membre du personnel de la Renfe, semblant être un contrôleur [..] il semble qu'il consultait un plan ou un document similaire en papier" déclare le tribunal supérieur de justice de Galice dans un communiqué.
Le chauffeur avait en effet déclaré à la justice qu'il avait eu "une distraction" lors de l'accident.
Un train trop rapide : 192 km/h puis 153 km/h au moment du déraillement
Autre information qui permet d'expliquer l'accident, la vitesse du train. Toujours d'après les révélations des boîtes noires, le train roulait à 192 km/h "dans les kilomètres ayant précédé le lieu de l'accident" puis "un frein a été activé quelques secondes avant l'accident" ce qui a réduit sa vitesse à 153km/h.
Le chauffeur mis en examen puis laissé en liberté
Le conducteur du train, Francisco José Garzon Amo, âgé de 52 ans, a été légèrement blessé dans l'accident qui a provoqué 73 mors et 66 blessés.
Accusé "d'homicide par imprudence", il a été entendu ce dimanche par un juge, puis laissé en liberté sous contrôle judiciaire. Après l'accident, ce chauffeur expérimenté, a créé la polémique suite à la publication d'une ancienne photo de son profil Facebook où il se vantait de rouler à 200 km/h.
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