De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Peu avant le week-end dernier, des messages relayant une rumeur d’attentats dans des lieux publics à Paris ont circulé entre particuliers via des SMS.
Cependant, comme l’indique lundi l’AFP, repris par La Dépêche, la police a mis en garde contre ces rumeurs et rappelé que le niveau d’alerte, déjà élevé, n’avait pas varié depuis le 13 novembre et qu’il n’y avait pas de risque particulier le week-end dernier. "Ne propagez pas les rumeurs, pour tout renseignement consultez les sites officiels", a demandé samedi la préfecture de police de Paris sur son compte Twitter.
Dans ces messages, qui citent souvent "des amis flics", il est fait état d’un "risque imminent d’attentats" dans des "magasins et centres commerciaux" dans le nord de Paris, notamment à Pigalle.
Une note interne de la police qui a fuité
A noter que cette rumeur d’attentats intervient après l’arrestation de quatre jeunes filles mises en examen dans la nuit de vendredi à samedi pour avoir menacé dans des échanges de messages sur Facebook de commettre des attentats "semblables à ceux du 13 novembre".
Il semblerait également qu’une note interne de la police, donnant des consignes de précaution et des mesures de sécurité préventives, est fuité sur Internet et soit à l’origine de cette rumeur. "C'est cette note qui a fait l'objet de fuites et déclenché les messages alarmistes", a expliqué une source policière. "La mise en place de mesures préventives ne signifie pas que la menace est sérieuse et avérée, mais on est obligés de toujours prendre toutes les précautions", a justifié cette source.