De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"Des combattants auraient quitté la Syrie il y a environ une semaine et demie afin de rejoindre l'Europe via la Turquie et la Grèce, en bateau, sans passeport". Cette note d’alerte a été envoyée aux services de police belges, ces derniers jours, et publiée par le quotidien la Dernière-Heure.
L’antiterrorisme belge a averti la France qu’une menace imminente pèserait sur l’Hexagone et sur la Belgique.
"Ces personnes se sépareraient en deux groupes, l'un pour la Belgique, l'autre pour la France, afin d'aller commettre des attentats par groupe de deux. Toujours selon les renseignements recueillis, ces personnes seraient déjà en possession de l'armement nécessaire et leur action serait imminente", complétait la fameuse note d’alerte.
Une information a prendre avec des pincettes
Les autorités des deux pays ont pourtant jugé que cette information n’avait "aucun impact sur le niveau de la menace actuelle".
"Les informations dont il est aujourd'hui question dans certains médias constituent des informations non contextualisées et n'ont, en tant que telles, aucun impact direct sur le niveau de la menace actuelle", a réagi dans un communiqué l'Organe de coordination pour l'analyse de la menace (Ocam), dépendant du ministère de l'Intérieur.
Les "nombreuses informations" reçues par l'Ocam doivent être "analysées et contextualisées".
D’après Les Echos, les services de sécurité français craindraient que les terroristes profitent de l’Euro 2016 pour commettre de nouveaux attentats.
"Il y a quelque chose qui bouge en France"
De plus, dans la prison de Beveren en Belgique, un message de terroriste Mohamed Abrini destiné à un autre détenu, Marouan El Bali, a été intercepté mardi. Il avait écrit en arabe "Il y a quelque chose qui bouge en France", rapporte la Dernière-Heure.