De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Un policier, anciennement fiché S avait pour ambition d’intégrer le service de la protection (anciennement connu sous le nom de service de protection des hautes personnalités). L'homme avait postulé pour une place à la "sécurité bâtimentaire", explique Le Point, un poste qui se trouve au sein du ministère de l'Intérieur, à 200 mètres de l'Elysée . Néanmoins la direction du service de protection a refusé sa candidature, tout en lui conseillant de rejoindre plutôt le commisariat de sécurité publique de son choix.
Depuis le 22 septembre dernier, cet ancien militaire, qui a rejoint la police en tant qu’adjoint de sécurité (ADS), est devenu par la suite gardien de la paix.
A lire aussi: La grosse boulette d’un policier du renseignement
L’ancien militaire était un adepte de l’islamisme radical
Surveillé pendant trois ans par la Direction générale de la Sécurité intérieur, l’homme avait été fiché S par le ministère de l’Intérieur en 2012. Il s’avère que l’ancien militaire était un adepte de l’islamisme radical. Cependant, ce dispositif n’a "rien donné", comme l’explique BFMTV, puisque l’homme n’a montré aucune intention de projeter un attentat durant ces dernières années. Par conséquent, sa fiche S a été levée, le 22 septembre dernier, après avoir suivi et validé une formation à l’école de police.