De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Clash. Depuis quelques jours, Mazarine Pingeot et le photographe à l’origine des clichés de François Hollande et Julie Gayet publiés en janvier dansCloser s’écharpent. Leur bras de fer a commencé samedi quand la fille de François Mitterrand a déclaré que Sébastien Valiela était quelqu’un de "pathétique" et un "rat fier de se planquer pendant des heures" pour essayer d’obtenir un cliché choc.
"Elle a peut-être le syndrome de Stockholm"Des propos qui n’ont pas manqué d’irriter le photographe, lequel a choisi de répliquer au micro de RTL. Et il n’a pas mâché ses mots. Mercredi, l’homme qui avait révélé à la France entière l’existence de la fille cachée du président Mitterrand en 1994 a en effet lâché : "Mazarine Pingeot a la mémoire très courte. Six mois après la publication des photos (ndlr : sur lesquelles on la voit sortant d’une restaurant au bras de son père) dans Paris Match, elle posait en couverture du magazine devant notre objectif". Fort de ce rappel des faits, Sébatien Valiela a poursuivi en indiquant qu’il se demandait même maintenant "si elle avait apprécié le précédent travail". Et celui-ci d’enfoncer le clou en assurant : "Quand je l’entends dire que c’était un viol, je me dis qu’elle a peut-être le syndrome de Stockholm et qu’elle aime bien ses bourreaux".
"Je me suis engouffrée dans un piège"La seconde salve de Mazarine Pingeot n’a pas tardé à arriver. Quelques heures plus tard au micro de France Inter, l’écrivaine a donné sa version des faits. Selon elle, en 1995, l’un des photographes à l’origine des clichés en Une de Paris Match lui aurait expliqué "qu’il avait suffisamment de photos pour publier, mais il les disait atroces et compromettantes". Le paparazzi lui aurait ainsi conseillé : "Vous devriez poser pour nous". Et la fille de François Mitterrand de constater près de 20 ans après : "Je me suis engouffrée dans un piège".