Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
En 2023, les travailleurs tirent le gros lot, comme au loto. Le calendrier de l’année prochaine annonce la possibilité de plusieurs week-ends prolongés. A l’inverse de 2022, où de nombreux jours fériés sont tombés le samedi ou le dimanche. Pour souffler un peu, l’année suivante sera parfaite.
En posant bien 25 jours de congés payés, il sera possible de profiter de deux mois de vacances en réalité. En revanche, il faut prévoir le coup rapidement ! Au risque de voir vos collègues vous coiffer au poteau…
L’astuce est très simple, il suffit de profiter des week-ends prolongés par les jours fériés pour s’organiser de bonnes semaines de repos.
Tout commence avec le lundi de Pâques. Ce dernier tombera le 10 avril et sera donc férié. Il suffit de poser quatre jours de congés, du mardi au vendredi pour obtenir neuf jours de repos, du 8 au 16.
Ensuite, vient le tour de mai. La fête du travail le 1er, l’Armistice le 8, l'Ascension le 18 et Pentecôte le 29. Il vous sera possible, en échange de six jours de congé, d'être en vacances, tout de même 1 8 jours. Comment ? En posant quatre jours du mardi 2 au vendredi 5 et deux jours le vendredi 19 et 26 mai.
Et le reste de l'année ?
De même pour juillet où en sacrifiant quatre jours de congés, du 10 au 13 inclus, vous obtiendrez neuf jours de vacances.En août, c’est la même chose, mais avec le mardi de l’Assomption…
Puis, en novembre, il y a deux options : poser deux jours pour cinq jours de vacances, le samedi 28 octobre au 1er novembre ou quatre jours, pour obtenir neuf jours, du samedi 28 octobre au vendredi 5 novembre.
Enfin, en décembre, Noël tombe un lundi… Grâce à quatre jours de congés, vous aurez 10 jours sans travailler.