Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Le 24 février 2022, c'est dans l'effroi que l’Europe et le monde entier apprend l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Si les premières rumeurs l'annonçaient quelques semaines auparavant, elle a marqué les esprits, d’autant plus dans une logique de proximité ou les conflits ont lieu à seulement quelques milliers de kilomètres de l'hexagone. Mais d'abord, où en est la guerre en Ukraine en décembre 2023 ?
Le conflit se poursuit difficilement
Le conflit continu et semble parti pour durer. Cet été, l’Ukraine avait commencé son offensive, mais depuis, la ligne de front est véritablement gelée. SelonFrance Info, la Russie aurait récemment commencé une toute nouvelle campagne dit “d’enrolement”. En effet, Vladimir Poutine aurait “signé un décret ordonnant l’augmentation du nombre de soldats dans l’armée de 15 %”. Cela représente le renfort de 170 000 soldats. Plus radical encore, des rafles seraient organisées dans certaines villes, notamment à Moscou où de nombreux jeunes sont arrêtés en pleine rue aux yeux de tous pour être contrôlés dans des commissariats pour “vérifications”, selon les mots des autorités russes.
Du côté de l'Ukraine, la mobilisation exemplaire des soldats les premières semaines paraît aujourd’hui si loin. Les bureaux de recrutement sont désertés. En ce qui concerne les règles de guerre pour le pays, les hommes entre 18 et 60 ans doivent rester sur le territoire ukrainien et seules trois conditions permettent d’échapper au front : être étudiant, père de famille de trois enfants ou plus, et être handicapé. Les inscriptions dans les universités n’ont jamais été aussi fortes. La guerre continue et une information pour le moins originale fleurit ces derniers jours. Des chats seraient amenés sur le front. Mais pour quelle raison ? Depuis bientôt deux ans, les conditions de vie dans les tranchées se sont dégradées, et pour cause, les rats, les souris, et même les serpents envahissent les lieux. Les pièges installés au préalable ne suffisent plus. C’est ainsi que de nombreux soldats amènent des chats avec eux, pour tenter de rendre plus vivable ces espaces dans lesquels ils sont depuis des mois. Certains y sont même depuis le début de la guerre. Les soldats sont d’ailleurs nombreux à évoquer leurs conditions sanitaires sur les réseaux sociaux. La présence des rongeurs, en plus d’être peu hygiénique, empêche la stabilité du quotidien des soldats, déjà rythmé par les conditions qu’impose la guerre. Sur le compte X (ex-Twitter) d’un utilisateur, on apprend que les rongeurs “perturbent le sommeil des soldats, les pincent dans leurs sacs de couchage et mangent tout ce qui leur tombe sous la dent, même l’équipement des troupes”. Dans la vidéo ci-dessus, plusieurs rongeurs ont élu domicile dans l’un des manteaux d’un combattant ukrainien.Des chats pour chasser les rats
Les soldats partagent leur quotidien sur les réseaux sociaux