Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
A 19h10, le rideau s’est levé sur cette nouvelle saison du Grand journal de Canal +. Dix-huit ans après Nulle Part Ailleurs, Antoine de Caunes a pris la relève de Michel Denisot. Et c’est sur la musique du générique de la série américaine The Newsroom que l’ancien trublion de "NPA" a fait son apparition sur le plateau. Un plateau qui n’a d’ailleurs pas tellement changé. Ce que n’a pas manqué de souligner ironiquement Benoit Poelvoorde, l’invité artistique de la soirée : "Rien n'a changé ici. C'est le même décor, le même public". Le discours d’entrée Antoine de Caunes souhaite faire du Grand Journal un talk-show à l’américaine. Pour ses premiers mots devant la caméra, il s’est adressé dans un texte humoristique à "ceux qui ne le connaissent pas, parce qu’ils sont trop jeunes ou qu’ils viennent d’immigrer en France". Il est revenu sur son parcours aux côtés de Philippe Gildas et sur les "dix-huit ans, trois mois et quatre jours" où il a commis "l’erreur de croire qu’il y avait des choses plus importantes que la télévision".Invité politique Pour cette grande première, Antoine de Caunes a accueilli son premier invité politique, Manuel Valls. Le ministre de l'Intérieur s’est retrouvé « face à Jean-Michel » Apathie. L’occasion d’un jeu de mots pour l’animateur : «Tout l'été on m'a dit Jean Michel Aphatie, eh non. Jean-Michel a resté ». La nouvelle chroniqueuse Jeannette Bougrad, ex-membre du gouvernement Fillon, s’est faite quant à elle très discrète, ne posant qu’une seule et unique question à Manuel Valls. Après avoir reçue Benoit Poelvoorde, l’émission s’est terminée avec un nouveau visage : celui du frère de Gad Elmaleh qui a conclu la soirée en réalisant une version belge du tube de l’été des Daft Punk, "Get Lucky".