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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Si Elise Lucet fait aujourd’hui figure de personnalité incontournable du paysage audio-visuel français (PAF), il est important de se rappeler qu’à l’origine, rien ne la destinait spécialement à devenir journaliste. L’ancienne présentatrice du JT de France 2 fait partie des autodidactes du métier. Elle n’a jamais intégré d’école de journalisme et n’a pas d’autre diplôme que le baccalauréat, filière scientifique. Peu de temps après avoir arrêté ses études, un séjour a bouleversé la vision que la future journaliste avait de son avenir, révèle le magazine people Gala.
Décidée à apprendre l’anglais, Elise Lucet choisit de partir pour Calgary, dans la province canadienne de l’Alberta et d’y devenir jeune fille au pair. Toutefois, pendant son séjour, elle ne se contente pas d’épauler sa famille d’accueil pour les tâches ménagères ou pour garder les enfants comme le font la plupart des jeunes au pair. Elle en profite pour participer à une radio étudiante et se familiariser avec l’univers du journalisme. Sitôt rentrée en France, l’apprentie journaliste s’attèle pour décrocher un stage, qu’elle effectuera chez Radio France. Un peu plus tard, rappelle l’hebdomadaire spécialisé, elle rejoint la rédaction de France Télévision.
Côté études, Elise Lucet n’a pas toujours été des plus assidues. Elle explique au Monde avoir séché des cours essentiels pour sa filière, notamment parce qu’elle ne souhaitait pas "apprendre le monde dans les livres".
Son envie d’exercer dans le journalisme remonte à loin puisque, à 12 ans à peine, elle promet à sa mère qu’elle remplacerait Christine Ockrent au JT. Mais c’est en partie grâce à son séjour outre-Atlantique qu’elle s’est lancée. "Au Canada, j’avais appris qu’on pouvait échouer et recommencer, et que les études n’étaient pas la clef de tout. J’ai écrit à Radio France et à France 3 (FR3 à l’époque), sans vraiment savoir ce que je pouvais y faire", indique-t-elle dans les colonnes du quotidien du soir.
Toutefois, Elise Lucet ne tenait pas que le journalisme en passion : si elle avait pu, elle aurait également souhaité être vulcanologue. Mais l’ingénieur agronome Haroun Tazieff l’en a découragée bien malgré lui…
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