La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Il n'avait pas recueilli leur "consentement libre et éclairé". Didier Raoult, connu pour avoir proposé un traitement contre le coronavirus Covid-19, déchaîne les passions depuis les débuts de la crise sanitaire. D'aucuns l'accusent parfois d'être un gourou tandis que d'autres lui prêtent le statut de visionnaire et font de lui un véritable providence. Pourtant, cette nouvelle polémique pourrait peut-être inquiéter davantage le chercheur.
En effet, rapporte le portail Yahoo Activité sur la base des informations du Canard Enchaîné, le médecin est accusé d'avoir prescrit et administré de l'hydroxycloroquine a des patients qui n'avaient pas pleinement adhéré à l'emploi de ce traitement, dans le cadre de ses essai clinique. Or, il s'agit là d'une action criminelle, contraire à la loi. C'est l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) qui soupçonne le scientifique et a déclenché une procédure. Pour rappel, il s'agit d'un établissement public, autorité unique en matière de régulation des recherches biomédicales. Et ce n'est pas le seul acteur à prendre en compte.
Un autre infectiologue a signalé le professeur Raoult au début de l'épidémie
Après la publication d'une étude en mars par l'IHU Méditerranée-Infection, où le professeur Raoult procédait à ses essai, un autre médecin infectiologue aurait contacté l'ANSM. Laquelle a donc mené une enquête concluant que "les modalités d'information des patients et de traçabilité de la motivation de la prescription ne sont pas conforme aux exigences légales". L'ANSM a donc saisi l'Ordre national des médecins pour trait le clair dans cette affaire.