Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Depuis un mois, les indicateurs épidémiologiques sont en net recul en France. Le nombre de contaminations, à l’instar de celui des hospitalisations est en effet en baisse, d’après les chiffres de Santé publique France. Dans le détail, le nombre de nouveaux cas confirmés a chuté de 37,5M en 7 jours, selon les données publiées ce lundi 2 mai. La moyenne quotidienne des nouvelles contaminations s’est établie à 52 318, ce qui est bien moins qu’il y a sept jours (75 297). Début avril, ce chiffre atteignait 140 000.
À l’hôpital, lieu où la situation sanitaire se jauge, la baisse se confirme également. Ce lundi 2 mai, 23 211 patients étaient hospitalisés, dont 1 511 en soins critiques. Deux chiffres en déclin par rapport à la veille, selon CovidTracker. Le lundi précédent, 24 980 patients étaient hospitalisés, dont 1 659 en services de soins critiques.
Covid-19 : des variants surveillés de près
Antoine Flahault, médecin épidémiologiste et directeur de l'Institut en santé globale de l'université de Genève, estime que l es variants BA.4 et BA.5, actuellement prédominants en Afrique du Sud, « pourraient arriver en Europe avant la mi-juin", alerte-t-il dans les colonnes de La Dépêche. Car, "plusieurs vagues de contaminations, survenues dans le passé en Afrique du Sud, ont précédé chronologiquement celles qui sont survenues un peu plus tard en Europe de l’ouest. Nous avions observé cela en décembre dernier avec le sous-variant BA.1 d’Omicron", explique-t-il. Selon lui, le fait que " les autorités relâchent leurs efforts de surveillance un peu partout en Europe dans cette période où l’incertitude semble redoubler" est "préoccupant".
D’ailleurs, si le taux d’incidence en France affiche 39% de moins sur une semaine (584,5 au 29 avril), dans certains départements, il bondit. Découvrez lesquels dans notre diaporama ci-dessous.