De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Elle a, elle aussi, un avis sur la question. Alors que l’affaire Hollande-Gayet a défrayé la chronique en début d’année, Carla Bruni-Sarkozy n’est pas passée à côté. Et si jusqu’à présent l’ex-Première dame s’était abstenue de tout commentaire, refusant "de faire partie de la meute", il semblerait qu’elle ait récemment changé son fusil d’épaule. Aux Etats-Unis pour donner son premier concert solo, l’épouse de l’ancien président de la République a accordé une interview au New York Post, dans laquelle elle n’a pas parlé que de musique. "Vous devez comprendre que la France possède une loi qui est censée protéger la vie privée. Une loi qui n'existe dans aucun autre pays", a-t-elle commencé par expliquer avant d’ajouter : "Les Français sont toujours ambivalents. Ils disent : 'Oh, c'est ma vie privée'. Mais il s'agit d'argent public, n'est-ce pas ? Donc cela ne peut pas être privé". Et Carla Bruni-Sarkozy d’ajouter : "Si le magazine français n'avait pas publié cette histoire, les Belges l'auraient fait, et ça se serait répandu partout de la même manière".
"Gérer un pays, ce n’est pas facile"Après s’être exprimée sur les supposées affaires de cœur du chef de l’Etat, la chanteuse a toutefois tenu à ne pas enfoncer le successeur de son mari à l’Elysée. "Je suis un peu patriote, je souhaite le meilleur" à la France, a-t-il affirmé. « Gérer un pays n’est pas facile », a-t-elle également reconnu. "Il ne manque pas du tout", a par ailleurs déclaré Carla Bruni-Sarkozy à propos du palais présidentiel. "C’était joli, mais c’était comme être dans un musée fantastique… je m’y sentais comme un visiteur. Une partie de mon travail consistait à bien accueillir les gens en France, et ça, ça me plaisait ", a-t-elle confié.