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Valérie Trierweiler ne baisse pas les bras. Très engagée dans la campagne #Bringbackourgirls appelant Boko Haram à libérer les quelques 200 adolescentes nigérianes enlevées, l’ancienne Première dame a récemment poussé un "coup de gueule". Celui-ci a été entendu par François Hollande.
La journaliste a en effet publié plusieurs tweets appelant la Fifa et les dirigeants à profiter de la Coupe du monde – et particulièrement du match France-Nigéria – pour condamner le rapt de ces lycéennes qui vivent un véritable cauchemar.
Visiblement, le message a été reçu par son ex-conjoint qui a annoncé à la presse s’être entretenu ce mardi avec le président nigérian Goodluck Jonathan. "Les deux hommes ont fait le point sur les actions menées conjointement pour localiser les jeunes filles enlevées", est-il écrit dans un communiqué transmis par l’Elysée.
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Deux jours avant le 8eme de finale remporté par la France (2-0), Valérie Trierweiler avait déjà demandé à la Fifa sur le réseau social que le match opposant les Super Eagles aux Bleus "soit dédié aux jeunes filles enlevées".
Ainsi que l’écrivait Europe 1, "l’ombre de Boko Haram pèse sur le Mondial". En effet, les islamistes sont soupçonnés par la police nigériane d’être responsables de l’explosion d’une bombe causant la mort de onze personnes ce vendredi soir à Bauchi (nord-est).
En signe de soutien, les journalistes nigérians présent au Mondial ont exposé des pancartes durant les matchs du 20 juin dernier. On pouvait y lire "le monde est uni contre Boko Haram".
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