La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Avec la réforme des retraites, ce sont, à la fois, les salariés du secteur privé et du secteur public, qui vont voir leur départ à la retraite être modifié. Pour les fonctionnaires, l’âge légal de départ à la retraite va ainsi atteindre les 64 ans, hors catégorie “active” pour l’exercice de métiers pénibles ou dangereux. Le mode de calcul de la pension va, quant à lui, rester inchangé. Qu’en est-il pour la retraite additionnelle de la fonction publique ?
Retraite des fonctionnaires : qu’est-ce que c’est ?
La retraite additionnelle de la fonction publique, également nommée RAFP, est une pension de retraite complémentaire à la retraite de base. Elle concerne la caisse des pensions civiles et militaires, dans le cas des fonctionnaires d’Etat, ainsi que la CNRACL, pour les fonctionnaires territoriaux ou hospitaliers. Mise en place depuis 2005, elle vient s’ajouter à la retraite de base des fonctionnaires déjà versée. Il s’agit d’un régime de retraite par points, où les cotisations versées viennent calculer le montant de la pension de retraite complémentaire.
Retraite des fonctionnaires : comment en bénéficier ?
Afin de bénéficier de la retraite additionnelle de la fonction publique, il faut être admis à la retraite auprès du SRE ou de la CNRACL. Après avoir atteint au minimum l’âge légal de départ à la retraite, vous pourrez en bénéficier. Pour cotiser à ce régime, les primes et indemnités sont prises en compte, tout comme les avantages en nature. L’ensemble de ces éléments ne doit pas dépasser 20% du montant de votre traitement indiciaire brut annuel. Le taux de cotisation de cette retraite s’élève à 5% des rémunérations.