De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Une carrière professionnelle peut être faite de nombreux rebondissements et il arrive qu’il ne soit pas possible de cotiser suffisamment pour sa retraite. Lorsque certaines périodes entières viennent à manquer, il est envisageable et préférable d’opter pour un rachat de trimestres. Dans cette perspective, il vous est possible de récupérer des cotisations, selon des conditions bien précises. Des cas particuliers doivent toutefois être connus afin d’éviter les mauvaises surprises. Zoom sur ces points d’attention.
Rachat de trimestres : quelles démarches à réaliser ?
De plus en plus de Français ont recours au rachat de trimestres pour venir combler des périodes de cotisation manquantes dans leur carrière. Pour effectuer cette procédure, il est essentiel d’avoir été à la charge d’un régime obligatoire français d’assurance maladie durant au moins cinq ans. Des délais spécifiques s’appliquent également pour réclamer le rachat de ces périodes. Dans le cadre d’une activité effectuée à l’étranger, vous pouvez déposer votre demande dans les 10 ans à compter du dernier jour de la dernière activité à l’étranger.
Rachat de trimestres : pour quelles raisons ?
Il vous est possible d’effectuer un rachat pour le taux, mais aussi la durée d’assurance. Votre rachat augmente ainsi le taux et le nombre de trimestres pris en compte dans le calcul de votre retraite. Le montant définitif de votre rachat dépend de plusieurs facteurs. Il est soumis à vos revenus professionnels et à vos cotisations des 12 derniers mois d’activité, mais aussi à l’option choisie et à votre âge. Il peut vous être proposé de régler votre rachat au comptant ou par paiements échelonnés. Découvrez, dans notre diaporama, les 6 cas particuliers à connaître pour votre rachat de trimestres.