De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Elle a parlé. Silencieuse depuis le début de l’affaire Hollande-Gayet révélée en Une de Closer, Valérie Trierweiler a enfin pris la parole publiquement ce lundi matin. Au lendemain de son arrivée à Bombay (Inde) où elle s’est rendue dans le cadre de son engagement auprès d’Action contre la faim et deux jours après que François Hollande a annoncé leur séparation, l’ex-compagne du chef de l’Etat a enfin parlé devant un micro. Peu maquillée, l’air fatigué mais souriante, Valérie Trierweiler s’est ainsi exprimée devant la façade de l’hôpital Sion de Bombay. "Vous voyez, on ne pourra pas dire que j’abuse de l’argent public, je n’ai qu’un garde du corps", a-t-elle ainsi commencé par dire comme pour mettre fin aux rumeurs selon lesquelles elle profiterait encore de certains avantages de Première dame, rapporte Europe 1.
"Elle est une ex-Première dame"Assurant être "combative", la journaliste de Paris Match a pourtant laissé son ex-collaborateur, Patrick Biancone répondre aux questions concernant son nouveau statut et son avenir. "Elle n’est pas redevenue une simple citoyenne, elle est une ex-Première-dame, ça lui donne un statut à part", a-t-il expliqué.
"Bien sûr, je vais continuer"Quant à son voyage en Inde financé par l’association Action contre la faim, Valérie Trierweiler a déclaré que "c’est très impressionnant de voir ces bébés de moins d’un kg avec des chances de vie très limitée. C’est une injustice car même si tout est fait pour le mieux, ils n’ont pas les mêmes moyens que dans nos hôpitaux". Soulignant qu’elle était engagée dans l’humanitaire avant de faire son entrée à l’Elysée, elle a par ailleurs assuré que son nouveau statut n’allait rien y changer : "Bien sûr, je vais continuer".
François Hollande a annoncé samedi sa rupture avec Valérie Trierweiler dans un communiqué de presse. "Je fais savoir que j’ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler", a-t-il en effet indiqué par téléphone à l’AFP. Le bruit court actuellement que le chef de l’Etat se serait farouchement opposé au déplacement de son ex-compagne en Inde. Sans doute espérait-il qu’elle se taise. Mais si Valérie Trierweiler s’est montrée peu prolixe ce lundi, sa biographe Nadia Le Brun a prévenu qu’elle ne manquerait pas d’en dire plus quand elle "jugerait le moment opportun".