De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Pour les élections européennes, Nicolas Sarkozy avait tout planifié. Sa tribune publiée dans Le Point devait lui permettre deux angles d’attaques : "si l’UMP est devant le FN, je dirai que c’est grâce à moi, si on est derrière, on ne pourra pas me reprocher mon silence", rapporte le Canard Enchainé.
Si Nicolas Sarkozy envisageait l’hypothèse selon laquelle l’UMP pouvait battre le FN, il se doutait tout de même que la bataille serait très compliquée.Aussi, dimanche soir, lorsque les résultats sont tombés, l’ex-président de la République a constaté devant ses amis qu’il avait vu juste en pressentant ce raz-de-marrée FN que l’UMP, trop fatiguée, n’avait pas su contenir. En effet, selon le journal satirique, l'ancien chef d'Etat a déclaré : "ça se déroule comme je l’avais prévu. C’était écrit. C’est un mouvement de fond pour le FN". Il a poursuivi en tapant sur son parti : "l’UMP n’a rien dit d’audible sur l’Europe. Le discours était archaïque, les candidats étaient archaïques".
"L’UMP est un sacré foutoir. Elle est en survie"
L’ancien chef d’Etat s’est alors emporté contre son "ancienne" formation politique : "l’UMP est un sacré foutoir. Elle est en survie". Nicolas sarkozy a en outre évoqué sa campagne pour les présidentielles à venir : "de toute manière je ferai campagne avec un nouveau rassemblement et avec des gens neufs".
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