La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Brice Hortefeux l’avait déjà annoncé : Nicolas Sarkozy est "tès mécontent de voir son nom associé à cette curieuse affaire". Bientôt deux semaines après, c’est au tour de Paris Match d’en remettre une couche sur ce que pense l’ancien président de toute cette affaire qui ternie l’image de l’UMP. Le magazine indique en effet que l’ex-locataire de l’Élysée serait très remonté contre le député-maire de Meaux.
Il lui reprocherait non seulement d’avoir plongé leur parti dans une crise sans précédent mais également d’y avoir associé son nom. Jean-François Copé est soupçonné d’avoir surfacturé des évènements en marge de la campagne présidentielle du champion de la droite en 2012 et ce, pour masque l’explosion du budget légalement prévu.
"Copé veut m’abattre", aurait ainsi lâché Nicolas Sarkozy, rapporte l’hebdomadaire.
Nicolas Sarkozy a refusé de l’aider
Et l’ancien président n’aurait pas attendu que Jean-François Copé annonce sa démission pour se méfier de lui. Paris Match explique en effet que dès le lundi 26 mai, soit la veille du bureau politique à l’issue duquel cette décision a été annoncée, Nicolas Sarkozy avait déjà pris ses distances.
Toujours selon les informations du magazine, le député-maire de Meaux aurait tenté de l’appeler pour recueillir quelques conseils quant à la meilleure manière de communiquer sur toute cette affaire, mais l’ex-chef d’État aurait refusé de l’aider, allant même jusqu’à ne pas lui répondre au téléphone.