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La polémique enfle. Vendredi à l’Assemblée nationale, Cécile Duflot a provoqué une polémique en déclarant que "le dernier régime à avoir massivement utilisé (la déchéance de nationalité) fut le régime de Vichy (….) On voit bien que la gauche, en voulant mettre un adversaire dans l’embarras, a jeté aux oubliettes, nos valeurs". Des propos que les socialistes présents dans l’Hémicycle ont rapidement dénoncés, manifestant leur désaccord par des huées. "Vichy, ce n’est pas la République. C’est une part de la République, et je rappelle mes mots, mais ce n’est pas la République. Ce n’est pas la République", a quant à lui répondu Manuel Valls. "Je pense que les mots ont dépassé sa pensée", a de son côté estimé un peu plus tard au "Grand Rendez-vous" Marisol Touraine, la ministre de la Santé au sujet de son ancienne collègue.
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Elle accuse Manuel Valls d’avoir "falsifié" ses proposMais l’écologiste ne s’est pas arrêtée, au contraire. Dimanche, alors qu’elle était invitée du "Grand Jury" RTL-LCI-Le Figaro, Cécile Duflot les a maintenus. "Non seulement mes mots sont le reflet exact de ma pensée, mais je les maintiens tous, a-t-elle lâché. Je n’ai pas invoqué Vichy, j’ai rappelé l’histoire de la déchéance de nationalité". Et l’ancienne ministre du gouvernement de Manuel Valls de poursuivre en accusant le Premier ministre "d’avoir falsifié dans l’Hémicycle (ses) propos et d’avoir monté une polémique (…), une cabale" contre elle. Virulente à l’égard du son ancien chef, Cécile Duflot a même affirmé qu’il avait "menti sur les propos d’une parlementaire" de façon "indigne".