De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Depuis quelques jours, Marielle de Sarnez était pressentie pour prendre la présidence du groupe MoDem à l'Assemblée nationale. L'ancienne ministre a annoncé à l'AFP qu'elle préférait prendre "la présidence d'une commission". Samedi 24 juin, elle a affirmé, dans un long poste Facebook, avoir vécu les semaines "les plus tristes" de sa "vie politique". Selon elle, elle a été confrontée à un "déferlement de malveillance", qui l'a laissée "meurtrie". Marielle de Sarnez y précise également que la proposition de prendre en charge un portefeuille ministériel lui a été faite "à deux reprises entre 2002 et 2007. Je l’avais refusée, ne me sentant pas en cohérence avec le projet présidentiel qui était alors incarné", écrit-elle.
Pour l'ancienne ministre, ce quinquennat et le renouveau incarné par Emmanuel Macron l'ont poussée à accepter le ministère des Affaires européennes dans le premier gouvernement d'Édouard Philippe. "Je me sentais partie prenante de l’action à mener, si proche de l’inspiration qui guidait les pas du nouveau Président, reconnaissante de sa confiance, et heureuse d’agir à ses côtés pour réconcilier les Français avec l’idéal européen", continue-t-elle.
Traversée du désert
Le duel entre la numéro 2 de la formation centriste et le secrétaire général du MoDem, Marc Fesneau, n'a donc pas eu lieu. Le député du Loir-et-Cher a été élu a l'unanimité pour prendre la présidence du groupe et de ses 42 députés. Selon libération, Marc Fesneau s'attelle depuis un an à dresser en interne la liste des investitures pour le MoDem pour les négocier avec "En Marche !". Depuis 2010, il s'acharne à animer le parti et ses fédérations départementales touchées par la longue traversée du désert du parti présidé par François Bayrou.
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L'ancienne ministre des Affaires européennes a quitté ses fonctions le mercredi 21 juin suite à l'enquête sur les emplois présumés des assistants parlementaires européens du MoDem, dont elle est la vice-présidente. Selon Libération, Marielle de Sarnez souhaiterait prendre la présidence de la prestigieuse commission des Affaires étrangères.