© Photomontage Planet.fr / AFPFotolia
Alors que Nicolas Sarkozy a déclaré ne pas connaître le site Leboncoin.fr, retour sur tous ces politiques qui ont avoué ne pas être à la page.
Sommaire

Nicolas Sarkozy

© AFP

En visite jeudi dans la région lyonnaise pour une table ronde avec des entrepreneurs, Nicolas Sarkozy a eu une petite absence. En effet, quand un entrepreneur lui a dit qu’il recrutait de plus en plus grâce au site Leboncoin.fr, l’ancien chef de l’Etat a alors répliqué : "C’est quoi Le Bon Coin ?". Pourtant, il est difficile de ne pas connaître le site aux 25 millions de visiteurs uniques par mois, soit l'un des sites les plus fréquentes par les Français.

Myriam El Khomri

© AFP

Interrogée en novembre dernier par Jean-Jacques Bourdin (BFMtv/RMC) sur le nombre de renouvellement possible d'un CDD, Myriam El Khomri n'avait pas su donner la bonne réponse. Elle avait répondu - avec beaucoup d'hésitation - "trois fois", alors qu'il ne peut l'être que deux fois. En privé, le ministre du Travail avait reconnu auprès d'une amie "avoir merdé".

Vidéo du jour

Nathalie Kosciusko-Morizet

© AFP

En 2012, "NKM" avait subi l'opprobre après avoir évalué sur Europe 1 le coût d'un ticket de métro parisien à 4 euros, alors qu'il ne coûte "que" 1€70. Trois ans plus tard, interrogée par Yahoo/SciencePo Tv, l'élue parisienne ne savait toujours pas le prix d'un ticket de métro à Paris. Pour s'en sortir, elle avait indiqué qu'elle n'achetait "toujours pas de ticket à l'unité".

Xavier Darcos

En avril 2008, le ministre de l'Education nationale d'alors était venu sur le plateau du Grand Journal de Canal + pour présenter sa réforme. Taquins, les chroniqueurs lui avaient demandé de conjuguer au passé antérieur le verbe naître -  ce qu'il n'avait pas su faire - puis de faire une règle de trois en calcul, ce qu'il n'avait pas su faire non plus... Ce qui ne l'a pas empêché sept ans plus tard de devenir académicien.

Jacques Chirac

© AFP

En 1996, Jacques Chirac avait fait rire la France lors de l’inauguration de la bibliothèque Mitterrand en demandant à Jacques Toubon, son ministre de la Culture, de lui expliquer ce qu’était une souris d’ordinateur.