Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Il y a un peu moins d'un an le 4 avril 2020, la vie de Jean Castex a totalement basculé en un simple coup de fil. En effet c'est le jour où le cabinet d'Édouard Philippe, alors Premier ministre d'Emmanuel Macron, le contacte pour devenir le "Monsieur déconfinement". La France est alors placée en confinement depuis trois semaines. Ce jeudi 11 mars, le Premier ministre s'est confié sur ce moment marquant dans Society. "Voilà, on cherche quelqu'un qui connaisse la santé, mais qui soit aussi capable d'organisr l'après", lui aurait-on alors dit.
"On est là pour servir"
Comme le rapporte Gala, qui relaie l'article de Society, Jean Castex aurait alors accepté "spontanément", sans trop réfléchir. "Quand on est serviteur de l'État, on est là pour servir. Mais je ne suis pas sûr de savoir ce qu'on attend de moi", explique le Premier ministre à Society. Un moment marquant pour Jean Castex, qui quittait ses Pyrénées-Orientales pour Paris. Au coeur de l'épidémie et dans une atmosphère anxiogène, ce départ a été traumatisant pour ses quatre filles : Léa, Eugénie, Pauline et Lise. "Mais tu vas mourir ?", lui auraient demandé ses filles, très inquiètes. Une question bouleversante pour le père de famille.
Les transports étant très rares lors du Premier confinement, Matignon lui envoie une voiture chez lui dans les Pyrénées-Orientales. "Sur l'autoroute A75, c'est impressionnant, on croise une voiture tous les 30 kilomètres. Ça me marque cette autoroute complètement vide", se souvient Jean Castex. Les restaurants étant fermés sur l'autoroute, c'est sa femme qui lui prépare un encas. "Heureusement, elle m'avait préparé un sandwich", plaisante le Premier ministre.