Après une semaine d’interruption, le procès des viols de Mazan reprend ce lundi 4 novembre. Sept nouveaux mis en cause seront entendus à la barre, le huitième étant en fuite.
Pas toujours facile de porter le même nom qu'une première dame. C’est le cas d’une certaine Brigitte Macron employée d'un centre des impôts dans le département de la Somme. "Mon nom est affiché sur mon bureau, donc les gens remarquent tout de suite qu’ils sont reçus par Brigitte Macron. Ca détend l’atmosphère.", confie-t-elle à LCI, avant d’ajouter : "Il m’arrive aussi de signer des courriers à mon nom, donc des contribuables me rappellent pour me demander s’il s’agit d'une blague."
Sans surprise, le quotidien de la Brigitte Macron samarienne a fortement changé depuis l’accession ou pouvoir d’Emmanuel Macron. "La dernière fois que j’ai commandé un bouquet chez le fleuriste et que j’ai donné mon nom, il m’a dit que ce n’était pas très malin de faire une blague comme ça", raconte-t-elle.
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Changer son nom sur les réseaux sociaux
Comble de la situation, l’Elysée a demandé à l’employée du centre des impôts de changer son nom sur les réseaux sociaux. "On m'a demandé de changer l'URL de mon profil. Je n’ai pas donné suite et on m’a rappelé mais au final je n’ai jamais fait le changement. Selon eux, j’allais être importunée.", précise-t-elle à LCI.
Et pour cause, l'intéressée s'est retrouvée très sollicitée sur Internet ces derniers temps. "C’est vrai que je reçois parfois des demandes d’amis et des messages de gens qui pensent que je suis la ‘vraie’ Brigitte Macron. Ils me racontent leur vie et me font part de leurs problèmes en pensant que je pourrai les aider", rapporte-t-elle. Comme le souligne le lexicologue Jean Pruvost, interrogé par Le Figaro, pas moins de 300 foyers porteraient le patronyme Macron en France.
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