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Jérôme Lavrilleux dément. Alors qu'il aurait tenu des propos violents à l'égard de ses collègues UMP, l'ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé jure ne pas avoir donné d'interview au Point. L'hebdomadaire pour sa part maintient sa version et apporte quelques précisions.

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L'homme qui dézinguait hier ses amis de l'UMP est revenu dans la soirée sur l'article du Point. "Je n'ai pas accordé d'interview" martèle-t-il au micro de BFMTV. "Vous-avez vu que c'était une interview ?" insiste le colistier de Jean-François Copé auprès du correspondant de la chaîne.

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L'hebdomadaire de son côté à mis l'article à jour et confirme que Jérôme Lavrilleux a bien tenu ces propos. Pour Le Point, ce dernier "joue sur les mots".

Pas d'interview mais...

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"Donnons-lui quitus sur un point, il ne s'est pas prêté au jeu de l'interview questions-réponses, mais il s'est (beaucoup) livré. Il a accepté que l'on dessine un portrait de lui. Il a apporté une foule de précisions et de détails" indique le journal.

Pour sa part, la journaliste a pris des notes tout au long du déjeûner sans que l'acteur principal de l'affaire Bygmalion ne pipe mot.

Le site Le Lab, fait le parallèle avec Ségolène Royal qui a à plusieurs reprises démenti avoir accordé des entretiens après parution. À dire vrai, il peut tout à fait dire qu'il n'a pas reçu la journaliste dans le cadre d'une "interview". En revanche, est-ce que cela signifie démentir les propos qui émanent de cette rencontre ? Sûrement pas. 

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