Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Il l’assure et le répète. Devant la caméra de France 2 qui lui consacre un documentaire, Jean-François Copé le martèle, il n’a "rien à voir" avec l’affaire Bygmalion comme le montre un extrait qui a été dévoilé par Europe 1. Selon le maire de Meaux, c’est par l’enquête publiée le 15 mai dans Libération qu’il aurait appris les malversations qui ont eu cours tout au long de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012.
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"Je sais, moi, que je ne savais rien" explique le président déchu de l’UMP qui dit avoir « toute confiance dans le travail de la justice". Lancé par notre confrère sur le rôle de Jérôme Lavrilleux, Jean-François Copé se fait sobre et n’accable pas son ancien bras droit.
A peine se contente-t-il d’évoquer un "grand gâchis". "Je n’étais pas associé à tout cela" répète-t-il encore. Un argumentaire qui entre en résonnance avec celui qu’il avait développé dans sa lettre aux militants UMP par laquelle il clamait son innocence.
Pour rappel, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire le 27 juin dernier pour faux et usage de fauxn abus de confiance, tentative d’escroquerie et complicité et recel de biens sociaux. Pour cette raison, il a expliqué qu’il ne pouvait pas en dire plus.
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