Le prix de l’or a atteint des sommets historiques en 2024 dépassant les 2 500 euros pour une once d’or. Faut-il vendre ou continuer d’investir dans ce métal précieux ? On fait le point.
Dans un récent entretien accordé au magazine The Atlantic, le président états-unien Barack Obama avait écorché quelque peu l’image de son ancien homologue, Nicolas Sarkozy. Selon le locataire de la Maison-Blanche, lors du conflit libyen en 2011, l’ancien président français aurait voulu "claironner ses succès dans la campagne aérienne alors que nous avions détruit toutes les défenses anti-aériennes."
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Dans un entretien diffusé samedi dernier par I-télé, Nicolas Sarkozy a réagi à ces propos depuis Abidjan (Côte d’Ivoire) où il effectue une visite. "Je ne veux pas polémiquer avec M. Obama, dont chacun sait que l’action n’est pas son fort", a taclé l’ancien président.
En Syrie, les Américains "ne sont pas intervenus"
"Les avions français sont rentrés les premiers dans le ciel libyen et au bout de huit jours, M. Obama a décidé de retirer l'armée américaine et a conceptualisé cette fameuse théorie: 'Leading from behind', le leadership de l'arrière (...) Vous savez, le leadership de l'arrière, ça n'existe pas", a ironisé Nicolas Sarkozy.
"M. Obama avait dit 'A la minute où Bachar al-Assad emploie des armes chimiques nous interviendrons'. Bachar al-Assad a employé des armes chimiques, ils ne sont pas intervenus. Quand on fixe des limites, qu'elles sont franchies et qu'on ne fait rien après, ce n'est pas bon signe", a-t-il encore taclé.
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