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Non sans faire référence à Nicolas Sarkozy, Michel Sapin a poursuivi en assurant: "C'est une qualité de ne pas capter tout le pouvoir soi-même avec cette volonté d'imposer aux autres sa volonté : je pense que vous avez reconnu quelqu'un d'autre qui était là il n'y a pas si longtemps que cela à l'Elysée". Fort de ses propos, il a conclu: "Si on est trop autoritaire, c'est pas bien, si on est trop gentil, c'est qu'on manque d'autorité (…) On peut avoir une vraie gentillesse, une vraie reconnaissance des autres, un vrai respect des autres avec de l'autorité, c'est ce que fait et peut-être va démontrer ce soir François Hollande" au cours de la conférence qu'il va donner devant près de 400 journalistes.
A noter, le prédécesseur de François Hollande n'a reçu aucune voix des journalistes.
Une question de perception
Président de Cap et enseignant à Sciences-Po et à HEC, Stéphane Rozes a, quant à lui, expliqué dans les colonnes de Psychologie que "la gentillesse semble corrélée aux valeurs dites de gauche : empathie, solidarité, proximité… Quand on n’arrive pas à se projeter dans l’avenir, on a besoin d’hommes politiques qui ont la capacité de nous comprendre, d’être proches de nous, dans lesquels on puisse se retrouver… ". Selon lui: "À la gauche, le social protecteur, à la droite, l’économique…, voilà les représentations binaires des Français".