Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
François Fillon était mardi soir à Londres pour participer à une conférence-débat sur le thème "Lutter contre le terrorisme aujourd’hui : quelles politique ? Quelles perspectives pour la France et le Royaume-Uni ? Quel impact sur le secteur privé ?". Aussi le candidat à la primaire UMP a-t-il expliqué pourquoi il était, selon lui, nécessaire que la France s’allie avec les présidents russes et syrien, Vladimir Poutine et Bachar al-Assad pour lutter contre Daesh.
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"En 1940, nous n’avons pas hésité à nous allier à Staline"
Ainsi que le rapporte Le Lab d’Europe 1, l’ancien Premier ministre aurait notamment voulu mettre en avant une précédente alliance du même type. "En 1940, nous n’avons pas hésité à nous allier à Staline pour vaincre le nazisme et nous avons eu raison de le faire. Aujourd’hui nous devons rassembler tous ceux qui peuvent nous permettre de vaincre le totalitarisme islamique", a-t-il déclaré.
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Et s’il est vrai que les Alliés et l’URSS ont effectivement mis leurs forces en commun pour combattre l’ennemi nazi, la date est en revanche incorrecte. "En 1940, le pacte de non-agression entre Hitler et Staline, dit pacte germano-soviétique signé par Molotov et Ribbentrop, est toujours en vigueur", rappelle en effet Le Lab. "Ce n’est que le 22 juin 1941, lorsque l’Allemagne nazie lance l’opération Barbarossa destinée à envahir l’URSS, que ce pacte prend fin. Et que les alliés peuvent alors envisager une alliance avec Staline", précise le site. Ce dernier souligne également que cette bourde a non seulement été prononcée lors de la prise de parole de François Fillon à Londres mais également relayée sur son compte Twitter.
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