De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La présidente du FN avait dit éprouver un "malaise" lorsque les ex-otages sont arrivés sur le sol français. Des images qu’elle trouvait "étonnantes" en raison de leurs chèches ainsi que de leurs barbes. Marine Le Pen parle aujourd’hui d’une "maladresse".Des chèches et des barbes qui "méritent quelques explications""On avait l'impression d'avoir des images d'hommes qui étaient très réservés (...) les deux qui portaient la barbe taillée d'une manière assez étonnante, l'habillement était étrange (...) Cet otage avec le chèche sur le visage... Tout ça mérite quelques explications de leur part" avait-elle dit au micro d’Europe 1.Ces propos ont créé la polémique. "Cela donne une idée de ce qu'est la vérité du Front national. Il n'aura pas fallu attendre longtemps avant que le vernis craque et que l'on voit le vrai visage de Marine Le Pen" avait alors estimé Jean-François Copé. Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a de son côté répondu : "Vous croyez que ce genre de propos mérite le moindre commentaire? Non, aucun"."Je me suis exprimée d'une manière maladroite""Manifestement je me suis exprimée d'une manière maladroite (...) Je me réjouis évidemment du retour des otages", explique alors Marine Le Pen quelques heures après au micro de RTL. Dans un communiqué de presse, la présidente du FN assure également qu’il ne s’agissait pas d’une "critique des otages" mais explique avoir voulu poser le problème de l’instrumentalisation politique des libérations d’otages par les gouvernants."Il faut rompre avec ce qui est devenu une tradition française profondément malsaine d'instrumentalisation politique des libérations d'otages. Elles ne sont ni des meetings électoraux ni des émissions de téléréalité" déclare-t-elle. "Il serait bon que nos dirigeants s'en souviennent" ajoute Marine Le Pen dans son communiqué.Marine Le Pen en a également profité pour parler du mouvement des "bonnets rouges" actuellement en Bretagne. L'écotaxe, qui est selon elle "conçue par l'UMP, votée par l'UMP et mise en œuvre par le PS" illustre le système UMPS qu'elle dénonce réguilèrement.