
Comme c'est obligatoire, un président de la République doit fournir une déclaration de situation patrimoniale à la fin d'un mandat. Ce fut le cas d'Emmanuel Macron en 2021, bien qu'il fut réélu quelques mois...
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Parce qu’ils comportaient une grosse bourde, parce qu’ils étaient déplacés ou bien parce qu’ils taclaient une personnalité, certains tweets de politiciens ne sont pas passés inaperçus au cours de ces derniers mois. Redécouvrez ces messages postés plus ou moins volontairement et qui ont secoué la twittosphère.
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Alors que Le Figaro a dévoilé samedi un sondage selon lequel la majorité des Français verrait Ségolène Royal comme un "handicap" pour François Hollande, l’information a été relayée sur le compte Twitter d’Aurélie Filippetti. Un tweet qui n’est pas passé inaperçu et qui n’a pas manqué de faire réagir la twittosphère. "Tranquillement, la ministre de la Culture dézingue sa collègue dans un tweet" a ainsi commenté Axel Assouline sur son compte. Mais rapidement Aurélie Filippetti s’est exprimée pour dénoncer une "intrusion inacceptable" de son compte et annoncer qu’une "enquête est en cours avec Twitter".
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En janvier dernier, alors que la "loi Florange" venait d’être votée, Nadine Morano a voulu manifester son mécontentement sur Twitter. Mais la conseillère régionale de Lorraine a commis un lapsus orthographique qui a fait d’elle la risée du web. "François Hollande aura mis deux ans à faire voter la loi Florange qui restera dans les anales de l'inutilité !", a-t-elle en effet écrit, oubliant un "n" à "annales"…
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Christine Boutin s'est fait charrier début avril par le rédacteur du site "Bescherelle ta mère" pour avoir tweeté "Un remaniement = poudre de merlin pinpin". En effet, le "justicier de l'ortographe" sur les réseaux sociaux s'est fait un plaisir de lui indiquer qu'il fallait dire "poudre de perlin pinpin".
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Le député UMP des Français de l’étranger a récemment crée une vive polémique en affirmant dans un tweet que l’enlèvement de jeunes Nigérianes par la secte Boko Haram "déculpabilisait" l’Occident sur l’esclavage. Une sortie choc qui a provoqué un véritable tollé dans la classe politique. Et si l’ancien ministre a ensuite reconnu une certaine maladresse dans ses propos, il est cependant resté ferme sur ses positions.