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"Avez-vous déjà fumé du cannabis, Manuel Valls ?". A cette question qui lui a été posée ce mardi matin en direct sur le plateau de BFM TV, le ministre de l’Intérieur a choisi de répondre franchement. Après avoir lâché un "non catégorique", il s’est en effet repris pour déclarer, non sans un air gêné : "il peut m’être arrivé d’avoir fumé, peut-être une fois". Conscient de la portée que pourraient avoir ses propos, Manuel Valls a rapidement tenu à repréciser que, peu importe ce qu’il avait pu faire dans sa jeunesse, il "restait favorable à l’interdiction du cannabis".
"Je reste favorable à l’interdiction du cannabis"Et alors que Barack Obama a récemment estimé que "le cannabis n’est pas plus dangereux que l’alcool" et avoué qu’il avait fumé de l’herbe quand il était jeune, le ministre en a également profité pour lui donner une petite leçon. "Attention, car tout mot d’un responsable public – président des Etats-Unis, un modeste ministre en France – agit sur les jeunes", a ainsi souligné le locataire de la place Beauvau avant de conclure : "Moi je suis favorable et reste favorable à l’interdiction du cannabis car la société a besoin de normes, de règles".
Lors de son interview sur le thème de la drogue récemment accordée au magazine américain The New Yorker, Barack Obama a toutefois mesuré ses paroles en indiquant qu’il avait mis ses propres filles en gardes contre le cannabis et que, malgré son expérience de cette drogue, "c’était une mauvaise idée".