De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Alexandra de Taddeo est au coeur de nombreux questionnements depuis la sortie des vidéos intimes qui lui ont été envoyées par Benjamin Griveaux. L'étudiante en droit a-t-elle voulu se venger de l'ex candidat à la mairie de Paris, ou est-elle impliquée dans un coup monté avec Piotr Pavlenski ?
La jeune femme qui étudie la communication et le droit international aurait toujours été ambitieuse, indique Closer. Dans son dernier numéro papier, sortit le 21 février 2020, l'hebdomadaire a interrogé des anciens camarades de classe d'Alexandra de Taddeo. L'un d'eux explique que lorsqu'elle était encore adolescente, "elle aim[ait] déjà beaucoup la lumière". Elle aurait même hérité d'un surnom, donné par ses camarades de classe : "La Princesse de Clèves", probablement en référence à son ambition.
La jeune femme, mise en examen mardi 18 février 2020, est pourtant décrite comme une "étudiante sérieuse", par son père, interrogé par France Info. Ses parents ne comprennent pas comment leur fille a pu être mêlée à une affaire pareille. Pour la radio publique, son père explique qu'elle "est loin d'être une anarchiste" et que sa fille "n'est pas en rupture familiale".
"Issue d'une famille friquée qui découvre le monde de la gauche"
Celle qui a suivi des masters à Science Po Toulouse et Paris Assas est dépeinte comme "une jeune femme issue d'une famille friquée qui découvre le monde de la gauche, tendance 'faisons sauter la République'", par un proche du dossier contacté par Le Parisien.
L'avocat de Piotr Pavlenski, Juan Branco, qui assure avoir croisé la jeune femme "quatre ou cinq fois", parle d'elle comme "quelqu'un de très cadré, très structuré, qui possède un socle familial stable", rapporte France Info.
Alexandra de Taddeo soutient toujours ne pas avoir joué de rôle dans la publication des images. D'après son avocate, interrogée par LCI, la jeune femme n'a pas gardé les vidéos "pour les diffuser sur Internet", mais "parce qu'elle estimait que c'était bien pour elle de les garder". Ce sera à la justice de définir le rôle joué par l'étudiante dans cette affaire controversée.