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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Le 4 janvier 2016, le monstre du cinéma français Michel Galabru disparaissait à l'âge de 93 ans. Le mythique comédien de Flic ou Voyou s'est éteint dans son sommeil, comme l'avait révélé à l'époque Franceinfo. La dernière année de sa vie, le comédien à succès s'était d'ailleurs confié sur sa mort, affirmant qu'elle n'était plus "très loin".
Dans les colonnes de Libération, Michel Galabru avait alors affirmé : "La vie commence à ne plus m’intéresser", avait-il déclaré et d'ajouter : "Un peu comme pour le reste, moi qui ne suis qu’un lamentable velléitaire, capable de rester des heures à rêvasser ou méditer, assis sans rien faire, repoussant toujours les choses à faire au dernier moment". L'époux de Claude Galabru avait d'ailleurs eu quelques pensées étonnantes : "J'ai d'ailleurs songé quelques fois à me supprimer, n'y renonçant que faute de courage".
Lors d'un entretien accordé au Figaro, Michel Galabru avait évoqué sa "petite retraite de fonctionnaire", mentionnée auparavant au micro de RTL. "Je touche 2.500€ par mois, quelque chose comme ça. Et j'ai toujours des frais, mes petits-enfants notamment. J'ai tout payé pour mes gamins, leurs études, leurs mariages", avait-il expliqué.
Redécouvrez en images, ses obsèques suivies par de nombreuses personnalités.
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