De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Marie-Agnès Gillot : ses confidences sur son rôle de juge dans DALS
Depuis le 9 septembre dernier, les danseurs et célébrités s'affrontent sur le parquet de l'émission Danse avec les stars sur TF1. Pour cette nouvelle édition, de nouveaux juges ont fait leur apparition. Le chanteur Bilal Hassani et l'ancienne danseuse étoile à l'Opéra de Paris Marie-Agnès Gillot ont fait leur premier pas aux côtés du chorégraphe Chris Marques (juré depuis la saison 1) et du danseur étoile François Alu.
Une nouvelle aventure pour Marie-Agnès Gillot qui a finalement accepté de participer au programme, après plusieurs années de sollicitations de la part de TF1. "Cela faisait sept ans qu’ils me couraient. J’ai accepté, car je trouvais que ça tombait bien dans ma vie, j’étais assez mature, que j’avais assez de recul pour prendre sur les épaules cette position de juge qui n’est pas si facile que cela", nous a-t-elle confié. Une tâche qui n'est pas si simple comme elle l'a rappelée par la suite : ". Il faut être impartiale et surtout, je juge des amateurs donc forcément, je dois me mettre à la place des amateurs. Ce n’est pas facile. En pro, on y va beaucoup plus fort".
Une émission à laquelle la danseuse y attache une certaine nostalgie. "Ma mère était fan de cette émission et du coup, c'est des souvenirs que j’ai avec ma mère. Comme elle a disparu, c’est aussi un côté affecte dans ma position d’être juge". Des souvenirs que la nouvelle juge de Danse avec les stars raconte également dans son autobiographie intitulée Sortir du cadre, à paraître le 29 septembre prochain Chez Gründ.
Un livre autobiographique touchant
Dans cet ouvrage, l'artiste se confie sur son enfance, ses drames et sa passion pour la danse, tout en dévoilant plusieurs clichés étant petite. Une envie de raconter pour son fils. "J’ai perdu toute ma famille en 13 mois, mes quatre parents : mon oncle, ma mère, mon père et mon beau-père. Je me suis retrouvée la dernière des Mohicans. Je me suis dit, s’il m’arrive quelque chose... Il ne sait pas du tout ce que j’ai fait".