Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
Ils butinnent, piquent, grouillent, bourdonnent. A la belle saison, les insectes pullulent dans les jardins et tous les coins de verdure, s'immiscant facilement dans nos repas dehors. Résultat : des cris, des gestes agacés qui font valser le poivre et des piqures qui grattent et viennent gacher un bon moment à l'extérieur. Toutes les stratégies sont alors bonnes pour éliminer les pénibles intrus osant squatter la table familiale, depuis la bouteille remplie de sirop jusqu'au coup de fourchette bien placé, en passant par la raquette électrifiée.
D'un autre côté, en bons défenseurs de la biodiversté, on a quelques scrupules à tuer sans ménagement les petits visiteurs. C'est bien simple : sans insectes pollinisateurs, point de fleurs ni de miel, sans moustiques, point de libellules (qui mangent leur larves) et sans araignées... On va s'arrêter là mais les araignées ont sans aucun doute leur place dans la chaîne alimentaire, on leur reconnaîtra au moins ça. Et puis de toute façon il faut dire que tout le reste de l'année quand vous êtes cloîtré chez vous à cause du froid, le jardin appartient aux insectes.
Exit les sprays toxiques
Alors plusieurs solutions existent pour se protéger des insectes trop familiers, tout en leur laissant la vie sauve. Exit également les lotions trop toxiques, dont les effets sont potentiellement plus nocifs qu'une piqure sur le molet. Sélection énumère divers moyens de lutter contre tous les types d'insectes, et particulièrement les plus voraces, tout en restant respectueux de la biodiversité et de sa santé. Des astuces pas bêtes pour ceux qui aiment la nature, mais pas au point de partager leur assiette avec un essaim de guêpes.