Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Dès l’antiquité, les médecins grecs et romains proposaient des régimes basés sur la nutrition et l’activité physique. A cette époque, la rondeur était un signe de richesse. Mais les individus enveloppés étaient considérés comme des paresseux.
Hippocrate qui vivait 5 siècle avant notre ère, à l’époque de Périclès, est le premier dont les préconisations nous soient parvenues. Selon lui, l’alimentation est la première médecine. Il préconisait un régime préventif pour garder sa santé et un régime curatif pour soigner un déséquilibre.
Pour Hippocrate l’homme est constitué de 4 humeurs : le sang chaud et humide ; la bile jaune, chaude et sèche ; le phlegme, froid et humide et la bile noire froide et sèche. Le médecin grec voyait la prise de poids comme le déséquilibre entre ces 4 éléments qui nous relient au cosmos.
Privilégier la nudité et dormir peuAussi, le père de la médecine moderne, conseillait-il à ses patients de ne manger qu’une fois par jour, de faire des "travaux de force" avant le repas et de manger des plats riches en graisse afin d’être rassasié rapidement. D’autres suggestions étaient plus originales comme le fait de privilégier la nudité, d’éviter les bains et de se reposer sur un lit dur afin de dormir peu et d’augmenter les dépenses caloriques.
Cette méthode sera peaufinée au second siècle de notre ère par Soranus d’Éphèse, un médecin romain qui préconisait, une alimentation basée sur les légumes et la viande séchée sans interdire le recours aux laxatifs et aux vomitifs pour s’alléger plus vite, si nécessaire.
Il faudra attendre le 18ème pour que le bain et le régime ne soient plus considérés comme antagonistes. A cette époque le Français A. Petit suggère même de prendre un bain par semaine et d’y rester un bon quart d’heure en se frottant la peau avec de la flanelle…