
Dans le cadre de l’enquête sur la mort du petit Émile, le van de son grand-père, Philippe Vedovini, a été minutieusement fouillé par les enquêteurs avant d’être restitué. Le corps du petit garçon a-t-il...
Officiellement, le big bang est la théorie cosmologique selon laquelle une gigantesque explosion est à l’origine de l’expansion de l’univers. Certains scientifiques soulignent que les équations de la physique actuelle n’ont aucun sens en deçà de 0,0000000000000000000000000000000000000000001 seconde et s’interrogent sur sa véracité en soulignant certains paradoxes. Parmi ceux ci :
Affaire de point de vue. Selon la théorie des cordes, cette causalité est discutable. Son modèle dit "ekpyrotique" décrit un univers antérieur au Big Bang. Dans ce scénario, le temps n'a ni commencement, ni fin. Le big bang devient alors une sorte de "transition de phase".
Elle suppose que l’univers ait connu initialement une énorme accélération lui permettant d'uniformiser sa densité et sa température. Or, la carte du rayonnement cosmique établi en 2013 par le satellite européen Planck fait apparaître un "point froid" dans l’univers, comprendre une immense zone où cette uniformisation n’a pas jouée. C'est une anomalie que le modèle dominant n’explique pas.
Au printemps 2014, des astrophysiciens américains ont annoncé avoir observé les traces de ces fluctuations gravitationnelles dans ce que les spécialistes appellent le "fond diffus cosmologique", c’est-à-dire la première lumière de l’univers. Quelques mois plus tard, la même équipe a indiqué qu’elle avait peut-être commis des erreurs, mais qu’il fallait quand même croire à la trace de ces ondes.
Vrai et faux en même temps ? Comprenne qui pourra dirait le chat de Schrödinger !