
Quatre mois après le verdict du procès des viols de Mazan, l’ancienne maison de Dominique et Gisèle Pelicot laisse une cicatrice dans le cœur des habitants due ce village du Vaucluse.
La passion a débuté avec deux fèves et n'a jamais cessé. C'est son père, collectionneur de CD qui l'a poussée à se lancer dans cette chasse si particulière. La toute première série de fèves de la jeune fille était consacrée au dessin animé Kirikou. Peu à peu, Léa et son père écument les brocantes à la recheche de nouveaux spécimens tous les dimanches. Une passion qui lui vaut le tire de plus jeune membre de l'association des fabophiles de France.
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Une passion peu commune
"Quand je fais des brocantes, je ne peux pas m'empêcher, je fouille les panières de fèves pour trouver celles qui me manquent," explique Léa qui a du mettre fin à sa collection pour se consacrer à son bac scientifique. "Cela prenait trop de temps entre les salons le week-end et les classeurs pour ranger les collections incomplètes", précise l'adolescente.
Une passion peu commune qui prend de la place dans la maison de la famille. Une vitrine a été installée dans le salon et même si Léa a arrêté, elle est tentée chaque année à l'épiphanie. Pour l'adolescente, chaque galette est une potentielle nouvelle série à commencer.