Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
6,5%. Selon le nouveau Baromètre LPI-Se Loger, publié ce 11 janvier 2021, telle est l’augmentation moyenne du prix du mètre carré sur l’année 2020, qui s’élève à 3 553 euros. Pour accéder à la propriété, il faudrait par ailleurs débourser en moyenne 265 000 euros.
En raison des mesures restrictives, des confinements et de la généralisation du télétravail, certains prédisaient une ruée vers la campagne des citadins des grandes métropoles. L’exode rural a-t-il alors vraiment eu lieu ?
Immobilier : l’exode n’a pas fait baisser les prix
Selon l’Insee, la capitale perd chaque année davantage d’habitants depuis 2013. Entre 2013 et 2018, la ville a ainsi vu fuir environ 50 000 parisiens. En cause, le coût élevé de l’immobilier et une offre de logements réduite. "L’effet confinement" a également suscité chez les Parisiens des envies de verdure et d’espaces extérieurs. Ils ont toutefois choisi de rester en région parisienne, et se sont tournés vers des logements plus grands offrant une pièce supplémentaire pour télétravailler ou disposant d'espaces extérieurs (terrasses, balcons ou jardins). Investir dans un appartement à Paris reste néanmoins très prisé.
Ailleurs, comme l’affirme Christine Fumagalli, présidente du réseau immobilier Orpi au Figaro,"on observe, à la marge pour l’instant, que des biens achetés par des citadins dans des zones rurales à l’issue du premier confinement, sont de nouveau mis en vente aujourd’hui".
Quelles ont alors été les incidences sur les prix ? Découvrez dans le diaporama ci-dessus les 10 villes de plus de 100 000 habitants où les prix au mètre carré sont les plus chers.