![Compte bancaire : si vous ne respectez pas cette règle vous risquer de vous faire arnaquer](/files/styles/pano_m/public/images/article/2/9/9/2970992/vignette-focus.jpg?itok=WDyVpdfN)
La Banque de France a annoncé la baisse de la fraude aux moyens de paiement au premier semestre 2024. Mais la prudence reste de mise. Voici quelques astuces pour ne pas vous faire avoir.
Vous vous lancez dans un projet de généalogie et vous vous posez mille questions ? Ou bien peut-être butez-vous sur un point particulier? L’une des premières étapes, si ce n’est la première, consiste justement à… poser des questions. Elles sont cruciales car ce sont elles qui vont mener vos premières investigations ; voire débloquer des situations si vous avez déjà avancé. Frères, sœurs, oncles, tantes, parents âgés, mais aussi cousins – même très éloignés : chaque membre d’une famille possède, parfois sans le savoir, une précieuse parcelle de votre mémoire familiale. Et pour explorer celle-ci, il existe des méthodes.
L’une des premières étapes consiste à lister les questions que vous poserez à vos « sources ». Beaucoup se révèlent bien moins évidentes qu’il n’y parait.
Ces questions n’ont rien d’anodin car elles servent notamment à orienter vos recherches et/ou à les faire évoluer. Dans un premier temps, en récoltant des informations sur les noms, les dates et les lieux, vous obtiendrez une « base » sur laquelle fonder vos investigations ultérieures, en particulier dans les registres d’état civil, les archives départementales, les bibliothèques...
Plus tard, lorsque vous aurez déjà constitué vos propres archives et votre documentation, cet exercice de « l’interview » des proches vous permettra sans doute de débloquer des impasses, et surtout d’enrichir votre histoire avec de la « chair » : des anecdotes, des faits méconnus, peut-être même des secrets levés… bref, de la vie !
Il se peut que vous recherchiez des informations sur un ancêtre en particulier, auquel cas, interroger les membres de votre famille s’avère non seulement très précieux, mais le plus souvent incontournable.
C’est là qu’interviennent souvent d’épineuses problématiques familiales, car tout le monde ne se prête pas aisément à l’exercice. Il se peut même que des conflits larvés éclatent au grand jour alors que vous pensiez ne poser que des questions toutes simples… Mais point d’inquiétude, la plupart du temps tout se passe très bien, à condition de s’exprimer avec délicatesse et tact. Et d'accepter que vous n'obtiendrez sans doute pas immédiatement toutes les réponses. Mais une chose est sûre... vous en cours de route viendront se poser des questions insoupçonnées!
Une solution peut consister à faire appel à un ou une professionnelle, biographe par exemple, qui, par sa neutralité, pourra dépasser d’éventuelles difficultés. D’autant plus qu’il est souvent plus aisé de se confier à des personnes extérieures.
Ce type de démarche représentent aussi l’occasion de faire appel aux jeunes générations, petits-enfants, neveux, etc. Leur distance avec les faits, leur regard « neuf » sur le passé de votre famille saura sans doute vous ouvrir des pistes insoupçonnées. Surtout, c’est une occasion de se rapprocher autour d’éléments communs. Cela peut devenir un moment rare de transmission !
Très concrètement, pour procéder à ces entretiens, un minimum d’organisation s’impose. Pensez ainsi à :
Surtout, prévoyez à l’avance les questions posées et adaptez-les autant que possible à votre interlocuteur, en particulier s’il ou elle est âgé.e. Prévoyez des séances courtes, quitte, si vous en avez la possibilité, à en programmer plusieurs.
Une fois les informations recueillies, il faudra les trier, les organiser, les recouper… bref, comme on dit dans le jardon les « traiter ». Mais c’est une autre histoire...
En attendant, voici les 20 questions « de base » pour faire avancer votre enquête généalogique.