La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Pour Laure Meilheureux, les chances de gagner à l’Euro Millions dépendraient de la nationalité du joueur. Cette joueuse régulière estime en effet que les joueurs français sont désavantagés par les règles fixées par la Française des Jeux (FDJ). Selon elle, certains pays comme l’Espagne et le Portugal jouissent d’une règlementation différente qui les avantagerait.
Après avoir demandé en vain à la FDJ de modifier son règlement afin d’harmoniser les règles dans les dix Etats européens où se déroule l'Euro Millions, la quinquagénaire a décidé de porter plainte auprès de la Commission européenne pour "non respect du droit communautaire", écrit Le Parisien.
Selon la plaignante, le nombre de combinaisons autorisé est plus important dans certains pays européens qu’en France. Interrogée par Le Parisien, la chef d’entreprise parisienne considère que "c'est mathématique : plus on joue de combinaisons, plus on a de chances de gagner".
Ainsi que le détaille 20 Minutes, "un joueur français ne peut pas miser plus de 756 euros, soit 378 combinaisons" tandis qu’un espagnol peut "faire monter sa mise jusqu’à 5.040 euros, soit au final, 2.520 combinaisons possibles".
La Française des Jeux conteste
Un porte parole de la Française des Jeux conteste les déclarations de la chef d’entreprise et assure que "tous les joueurs ont les mêmes chances de gagner partout en Europe", rapporte Europe 1. L’entreprise publique de loterie explique que le montant de la mise est le même partout (2 euros). Les joueurs peuvent en outre miser autant de fois qu’il le souhaitent à condition qu’ils ne misent pas au-dessus du plafond maximal.
Concernant le plafonnement des mises, il est de 756 euros par grilles en France. La société avance que cette limitation répond à la volonté de prévenir l’addiction aux jeux. En revanche, le plafond est de 2520 euros en Belgique et 5040 en Espagne. Selon Laure Meilheureux, cette simple différence démontre qu'il y a effectivement une rupture d’égalité des chances.
C'est désormais la justcie qui tranchera pour savoir s'il y a, ou non, rupture de l'égalité des chances.
Vidéo sur le même thème : Euro Millions : célibataire, sans enfants, millionnaire, (ultra)-généreux et anonyme