De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La partie de jambes en l'air a tourné court. Vendredi 30 juillet 2021, la maison centrale de Saint-Martin-de-Ré (Charente-Maritime) a été le théâtre d'une découverte surprenante. Dans les colonnes de Sud Ouest, nous apprenons qu'un surveillant de la prison faisait sa "patrouille" dans le quartier de la Citadelle... Avant de surprendre une avocate en plein ébats sexuels avec un détenu de l'établissement pénitentiaire ! C'est l'intervention de l'employé de la maison centrale qui a mis fin à la relation sexuelle entre les deux individus.
Les syndicats pénitentiaires, interrogés par le quotidien régional, considèrent que cet acte est une "violation manifeste des règles sanitaires dans un contexte extrêmement tendu" au beau milieu d'une crise sanitaire. Les risques de contamination ont été soulignés, ainsi que l'interdiction des relations sexuelles en détention. D'après 20 minutes, la Direction de l’administration pénitentiaire (DAP) "avait mis à jour les consignes de gestion de crise sanitaire face à la reprise épidémique" la veille.
L'avocate risque la radiation du barreau
Étant donné que les faits ne relèvent pas du pénal, le procureur de la République de La Rochelle Laurent Zuchowicz a déclaré qu'il n'engagerait aucune poursuite. Toutefois, l'avocate, elle, risque gros. L'Ordre des avocats de Charente-Maritime a ouvert une enquête "en vue d'une procédure disciplinaire", explique Sud Ouest. Elle risque la radiation du barreau. De son côté, son client devra passer devant une commission de discipline à la maison centrale de Saint-Martin-de-Ré.