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Publié par Eléonore Bounhiol
Mis à jour par Eléonore Bounhiol
Depuis l’arrestation de Marc Dutroux en 1996, sa maison de Marcinelle, qui abritait la terrible cache dans laquelle avait été retrouvées les jeunes Sabine, 12 ans, et Laetitia, 14 ans, a été au cœur de toutes les controverses. La ville de Marcinelle a fini par décider de la raser, pour y ériger un mémorial aux petites victimes du tueur pédophile. La destruction a commencé en juin 2022.
Son autre demeure, dans la ville de Sars-la-Brussière, en revanche, tient toujours debout, au grand damn des habitants. Elle est abandonnée, et régulièrement visitée par les curieux. C’est dans le jardin de cette propriété qu’avaient été retrouvés les corps de Julie et Mélissa, 8 ans, mortes de faim dans la « cave » du monstre belge.
LE DETAIL QUI TUE, EPISODE 5 Au cœur de la « maison de l’horreur » de Marc Dutroux
Le 16 février 2017, le pavillon d’Orvault (Loire-Atlantique), a été le théâtre d’un drame terrible : le quadruple meurtre de Pascal, Brigitte Troadec et de leurs deux enfants, Charlotte et Sébastien.
Depuis, la maison est inhabitée, pour les besoins de l’enquête. En juillet 2021, Huber Caouissin, le beau-frère du couple, a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle pour le crime. Mais i la fait appel de sa condamnation. En attendant ce second procès, donc, impossible de vendre la maison.
A l’abandon, elle aurait été visitée par des explorateurs urbains, et serait même squattée depuis l’automne 2021. Une situation « douloureuse » pour les proches des victimes, selon Me Cécile de Oliveira, l’avocate des sœurs de Brigitte Troadec.
Lire aussi : Crimes d’héritages : l’affaire Troadec, l’impensable tuerie familiale
Après la tragique tuerie du Grand-Bornand en 2003, le chalet où vivait la Xavier Flactif, sa femme Graziella et leurs trois enfants Grégory 7 ans, Laetitia, 9 ans, et Sarah, 10 ans, a été mise aux enchères. C’est un couple de belges qui a fini par acquérir le bien pour 315 00 euros, alors qu’il était estimé à 513 000.
Rebaptisé « Chalet des Laurencières », l’endroit serait désormais disponible à la location pour la modique somme de 3000 euros la semaine, la station de sports d’hivers de Haute-Savoie étant très prisée.
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La maison dans laquelle Geneviève Lhermitte a égorgé ses cinq enfants en février 2007 se trouve au 42, avenue Général Jacques, à Nivelles, en Belgique.
En 2012, la bâtisse avait été mis en vente publique, et acheté par un couple de Genappe pour 195 000 euros, informe L’Avenir. Mais ils ne seront pas restés longtemps dans la résidence.
En 2017, la maison est à nouveau sur le marché. D’abord, pour la coquette somme de 435 000 euros, puis, faute d’acquéreurs, pour 400 000 euros.
Le propriétaire de l’immeuble voulait, au départ, diviser l’imposante bâtiment en plusieurs appartements afin de les louer. Il s’est heurté au refus de la ville. Il a donc opté pour des rénovations : il a remplacé les plafonnages, imbibés de sang, installé un ascenseur, rénové les installations… Puisque diviser l’immeuble en appartements n’a pas été possible, le propriétaire explique l’avoir aménagée en maison unifamiliale, comme le voulait la Ville. Il a remplacé les escaliers, refait les plafonnages – « Mais la maison fait plus de 400 m2 : si quelqu’un s’installe là, ce sera sans doute une famille avec enfants, constate-t-il. Moi, je ne peux pas faire comme si rien ne s’y était passé : je le dois dire aux occupants potentiels ! Après un premier contact, la plupart du temps, je n’ai plus de nouvelles… », confiait-il en 2017 à la Dernière Heure.
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