De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Six mois de fausses pistes, refermées les unes après les autres. L’enquête sur la disparition de Delphine Jubillar a connu un tournant mercredi 16 juin après l’interpellation et le placement en garde à vue de Cédric Jubillar, son mari. L’homme de 33 ans a quitté la gendarmerie ce matin du vendredi 18 juin, afin d’être présenté à un juge de Toulouse dans la journée.
Delphine Jubillar : la piste d'une dérive sectaire ?
S’ils ont attendu six mois pour procéder à l’arrestation de Cédric Jubillar, les gendarmes de la section de recherche de Toulouse le soupçonnent en réalité depuis le tout début. Les semaines qui se sont écoulées leur ont permis de refermer toutes les autres pistes, dont celles évoquées par le mari de la disparue lui-même. Selon les informations du Parisien, il a notamment jeté le doute sur l’amoureux de Delphine Jubillar, dont l’alibi a par la suite été confirmé.
Une autre piste a été évoquée par Cédric Jubillar il y a quelques semaines… Celle des Témoins de Jéhovah. Comme l’explique le quotidien francilien, une lettre adressée à Delphine Aussaguel [son nom de jeune fille, NDLR] et réceptionnée par son mari était une "invitation à participer à la commémoration annuelle du sacrifice de Jésus, prévue le 27 mars sous forme de vidéoconférence". Le mari de la disparue ne lui connaissait pourtant aucun lien avec le mouvement religieux, si ce n’est que son père – décédé en 2000 – en a fait partie, au sein d'une association située non loin d’Albi. La dérive sectaire est-elle la piste à suivre ? Pour les enquêteurs, la réponse est non, conclut Le Parisien.